FaTras Etcaetera
Il y avait à Londres une ménagerie que l’on pouvait visiter , Soit en prenant un billet soit en remettant au contrôleur, au lieu d’argent des chiens ou des chats qui servaient de nourriture aux animaux.
Une voix cria Stop… vous avez mal lu. Tant c’était impensable.
La lectrice leva la tête et regarda le mal autrui d’un œil indigné
C’est bien ce qui était noté dans les pages du livres qu’elle était en train de lire… Je l’ai vu vérifier.
Une petite fille se mis à pleurer… de grosses larmes chaudes, puisqu’elles rougissaient ses joues, coulaient sur son visage…
L’homme pensa à l’eau dans le ruisseau, elle se frayait un chemin de la même manière, sans que rien ne puisse le retenir.
Les après midi il pêchait avec son père. Il faisait frais dans le petit bois derrière la maison.
C’était un jeudi. Il lui avait tendu le petit canif et avait dit en économisant ses mots.
Tiens, il est à toi. Tu es presque un homme, tu dois avoir ton canif.
Puis ils avaient partagé le saucisson.
Il aurait préféré avoir une fille. Comme le docteur March.
Les filles n’aiment pas aller au zoo.
Une voix dans le lointain répéta son prénom… Qu’il était bête. L’espace de ses souvenirs, il avait oublié où il se trouvait.
Un pauvre homme qui n’avait pas d’argent, voulu un jour voir les bêtes féroces. Il attrapa un petit chien dans la rue…
Voilà, votre Minette… cela nous fera cent- quarante- deux euros…
L’assistante articulait comme si elle avait peur que la vielle dame ne l’entendit pas.
Héééé maman… Tu m’entends. Oui ma chatte.. Je suis là.
Que l’on me croit ou pas, aujourd’hui c’était mercredi, j’ai vécu milles secondes à la fois.
L’esprit à une longueur d’avance de là où se trouvait mon corps…
Lorsque enfin je me pose, il est fréquent que d’aucun ait du mal à comprendre
Comme,
LaParhasard