Les sardines ont bouché les pores (CR n° 16)
6 membres actifs, dont 2 virils, étaient présents, presque à l'heure.
4 filles donc, plus un impétrant, un certain loup, mais ce n'était pas MartinLothar.
A
19 heures 30, le feu était vif dans le jardin : le loup s'activait.
Notre hôtesse était perdue dans ses étages et surveillait de loin ses
fourneaux sur lesquels cuisaient des patates en robe de chambre, comme
elle.
Flanby surveillait les sardines. Il devait craindre qu'elle ne séchappent.
Les saucisses arrivèrent accompagnées d'Enn, chassée de chez elle par des ados columérains se cassant la tête sur des énigmes éponymes.
Très sérieusement, nous décidâmes de donner un délai de grâce aux écrivains amateurs pour la nouvelle. Il faut dire que la meilleure est encore à écrire. (la mienne).
Donc
nous mangeâmes abondamment, rimes beaucoup, en particulier Honey dont
les fous-rires vont devenir célèbres dans le quartier, bûmes un peu du
champ de Stéphane, un reste de Minervois, injustement accusé d'avoir un
goût de bouchon par Enn aux papilles encore endormies par le embruns
des plages naturistes, des alcools improbables voire ésotériques (on a
parlé de liqueur d'estragon, mais je m'interroge), décidâmes d'accueillir avec bienveillance Saturnin.
Les agapes furent
juste interrompus pas les cris étonnés d'un lego en fâcheuse posture.
Je laisse à la détentrice de l'image la responsabilité d'introduire ici
la preuve photographique.
Nous nous séparames vers 23 heures, saoûlés pas une surdose de passés simples.
PS. Rien sur le clafoutis aux raisins ?
PS2. Ni sur la mousse au chocolat ?
PS3. Pensées émues pour nos profs qui travaillent demain.
- putaing il maitrise les rétroliens.
- trop fort ce LC.
PS 4 (signé Enn')
: Je m'immisce chez Lewis, pour ajouter que le jardin de Giov' est
charmant, et que nous sommes partis comme des sagouins sans même
l'aider à ranger. Sans doute était-ce l'effet de l'alcool d'estragon
(délicieux mais très fort ). Merci Giovinetta !
Les Duplo, Lewis, on voit que tes enfants sont grands, font référence à un article de l'été de Libé...
La treille est encore couverte de raisins, cela appelle une deuxième tournée de vendanges !