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Frivoli
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Frivoli
16 juin 2009

Pleurer au théâtre

J'aime bien pleurer au théâtre.  Il faut faire un petit effort pour cela  : on n'est pas tout de suite dans l'état favorable. C'est comme gravir une échelle, ou comme les barrière d'énergie à sauter en mécanique quantique, un degré, puis un autre, et patiemment  on s'installe, sur le barreau des larmes, on accueille le spectacle, et elles roulent toutes seules. Elles glissent sur les joues, dégringolent sur le nez, où elles forment une goutte qui fiinira par tomber sur les bras croisés. C'est délicieux.

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Commentaires
H
Je comprends rien à ce qu'écrit cette Ad'A.
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G
tu veux dire au foyer bar ?
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M
On pleure parce que l'on a compris que l'on n'est (naît, nez ?) qu'un homme (de tout sexe, âge, poil ou horizon)<br /> Tout compte fait, je préfère rire (au thé âtre — en deux mots - ou ailleurs), mais bon...
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G
elle a écrit un livre remarquable sur le deuil et l'accompagnement, qui s'appelle justement 'la courte-échelle'<br /> au risque d'en tomber - de l'échelle- et de déchoir aux yeux de certains, j'avoue que sur le même sujet, dans la littérature romantique le livre de Rosamund Pilscher 'solstice d'hiver' me semble très aidant. histoire d'ouvrir des horizons aux âmes en déroute.
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A
Barreau des larmes<br /> Courte échelle<br /> Chaise longue étonnée...<br /> Ad'a
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