Lettre de démotivation
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs de Frivoli,
Niçois perdu parmis un noyau dur de Toulousains chaleureux, vous m'avez accueilli avec bonheur au coeur de Frivoli. J'ai partagé vos mots, vos jeux, vos jeux de mots. Votre café. Et même un cassoulet.
Aujourd'hui, j'ai honte, car je ne participe plus - et depuis trop longtemps - à la vie de ce petit groupuscule d'extrémistes de la drôlerie et des bons mots. A quoi bon avoir une liste de membres longue comme ma bite mon bras, si ces derniers sont des membres fantômes ?
Ayant de moins en moins de temps à conférer à l'écriture, et me recentrant de plus en plus sur un petit blog froid et perdu sous une neige futuriste, je ne participerais plus à Frivoli. Je sollicite donc par la présente note l'autorisation des membres fondateurs de démissionner de mon poste de membre actif de Frivoli. Coupez donc mes accès en modifications, et faites de moi un blogueur qui s'amusera à vous visiter de temps en temps, un simple amateur de ce petit collectif, un admirateur que je resterais toujours.
(Putain, si avec autant d'inaction et une note aussi mielleuse ils me virent pas enfin, je sais plus quoi faire. Une apologie du café de Lewis, peut-être...)
Votre dévoué glandeur,
STV.
PS : je suis très sérieux, au fait !