Comme un zèbre dans l'azur
Un silence pesant règne sur FRIVOLI.
Serait-ce la fatigue inextinguible de nos professeur-e-s et autres instituteur-e-s due à la longueur anormale de ce dernier trimestre, où élèves comme enseignants attendent apeurés l'arrivée des examens annuels qui sanctionneront une année scolaire monotone, s'étonnent de l'absence jours fériés au mois de juin, qui expliquerait ce silence atone ?
Serait-ce un excès d'heures supplémentaires choisies par nos camarades travailleurs du secteur privé, qui attendent qu'un moment de justice sociale permette à leurs alter ego du public de bénéficier également d'un surcroît de travail justement rémunéré, au lieu d'écrire nonchalamment des textes abscons ou drôles ou les deux sur ce blogue érudit ?
Serait-ce une digestion délicate des chocolats pascals ?
Serait une reculade pour mieux sauter dans l'été ?
Serait-ce la lecture abusive d'un livre indigeste prété par Téta ?
Serait-ce un repli stratégique, un ermitage provisoire, une hibernation tardive destinés à mûrement réfléchir à la meilleure stratégie à appliquer dimanche prochain ? Ou encore FRIVOLI serait-il devenu un repaire oiseux de collectionneurs alambiqués de professions de foi ou de bulletins de votes égarés ?
Que celle ou celui (ou autre) qui connait la réponse me lance la première pièce.