Grasse matinée d'hiver

Il en est des grasses matinées comme de la qualité des cafés : certains sont oiseux, délicats, forts, épicés, fripons, crapuleux même, ou alanguis, mondains, réussis, carolingiens, trop sucrés, âpres, mielleux, sulfureux, esseulés, grouillants, bouillants, refroidis... Chiche que vous trouviez d'autres qualificatifs.

Mais ayant inauguré hier soir la nouvelle tasse de café glanée aux soldes avant la mésaventure chez Pépé... je me devais aussi de vous faire partager le farniente de ce matin avec un bon soleil et, non pas ma partition de Sécheresse mais un palpitant roman ds l'Espagne médiévale où un docteur aveugle joue les Hercule Poirot...    La tasse de ma grand -tante m'apporte toujours une impression de confort, presque de luxe qui agrémente bien l'earl grey

Comments

[Giovinetta]

ah non, j'y suis : c'est parce que sinon, ça faisait LCR je ne crois pas que ce soit la carte de visite de LC
ouf, je reconnecte les neurones
(faudra bien que j'arrive à savoir s'il n'y en a que ds le cerveau ou si chaque parcelle/cellule de mon corps munie de récepteurs sensitifs en contient.; mais qd même, les neurones de mon petit... doigt, ça se saurait, non ?

[myrtille]

Carroll - R = Caroll
adjectif dérivé : carolingien
(ç'aurait pu être carollingien, mais puisqu'il y a moins d'R, on a besoin de moins d'L aussi...)

[Giovinetta]

t'as raison Honey, j ne me souviens plus à quoi je faisais allusion avec le R de lewis Caroll ...
ma pensée va trop vite pour moi...

[honey]

mais ça s'explique, je n'aime que le thé!

[myrtille]

La grasse mat' carolingienne est donc la raison de la désaffection du blog de Roxane...