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18 septembre 2006

Compte Rendu de Réunion numéro 21

Pendaison de crémaillère chez Paquito et Tétaclacs - Samedi 16 septembre 2006 début de soirée

Décor :

Pluie battante depuis le matin. 

La sonnette ne fonctionne pas, mais j’ai oublié de le préciser à nos invités. 

J’ai remis à tous ceux qui n’étaient jamais venus, un plan superbe réalisé de mes mains d’attardée de l’orientation, mentionnant comme premier repère une rue barrée pour cause de travaux !!! 

Malgré tous ces efforts pour les décourager, se sont présentés à la porte, heureusement abritée de la pluie (depuis la salle bains, on n’entend pas frapper !) :

Marctlse (mais quel beau pseudo, et original avec ça !) et ses deux enfants (le sportif et le BDvore). Lui connaissait le chemin, il n’a donc pas eu à suivre mon plan.

Roxane et son fils : elle connaissait bien le chemin, donc elle n’a pas eu besoin du plan pour se perdre.

Ensemble et en désordre : Enn et sa fille ravissante, Eva et sa veste, le grand, le beau, l’unique, l’adulé Lewis Carroll et sa fille magnifique.

Peu après ou peu avant : Giov, qui succédait courageusement à son mail de détresse : « J’ai perdu l’adresse et tous les numéros de télephone ! » que j’ai reçu… le lendemain matin !

Derniers arrivés : Myrtille, Honey et White Spirit. Ils ont eu un peu de mal à trouver, ils étaient pourtant équipés d’un GPS pour piéton qui faisait bip bip au niveau des intersections concernées, trop tard évidemment. La prochaine fois, je suggère au porteur du GPS de passer devant, à pieds, et aux autres de le suivre en voiture.

Absent excusé et regretté : Stéphane, Lamidhoney. Il doit maintenir en permanence une jambe en l’air, ce qui n’est pas toujours bien vu dans ce genre de soirée, et puis il faisait un temps à ne pas mettre un plâtre dehors !

La soirée s’est déroulée dans les cris des enfants et du baryton abusé par le punch. 

Malgré toutes mes noires prédictions, il y a eu assez à manger, assez à boire (quoique… un litre ou deux de punch supplémentaires auraient été les bienvenus).

A noter entre autres mets délicats et raffinés au menu : 

  • De la viande froide à couper avec des couteaux en plastique (dans le but de diminuer la quantité consommée, inversement proportionnelle au temps passé à l’ingérer car, ainsi que je l’ai écrit précédemment, je craignais qu’il n’y en ait pas suffisamment).

  • Du riz au lait (fait maison) « plein de grumeaux, dégueulasse » selon LC qui en a repris deux fois :
    -« mais comment tu t’es débrouillée pour faire des grumeaux dans le riz au lait ?!! »
    -« Ta gueule ! Est-ce que je te demande comment tu t’y prends pour faire un café aussi mauvais ? »

  • Des cannelés, fort beaux, fort bons, je crois…

  • Un café filtre raté, non pas que j’ai pour habitude de servir du mauvais café à mes invités, mais quand Lewis est là, afin de ne pas l’aigrir, je fais un effort tout particulier de mise à niveau.

Nous avons décidé à la demi-unanimité plus ma voix (mezzo-soprano) qui fait souvent la différence (ce n’est pas Paquito qui dira le contraire), de placer le deuxième tableau de ma sœur au même niveau que le premier, et non en décalé. Merci, Myrtille, tu l’as très bien tenu.

J’ai pu entendre Giov chanter, Petit Papa Noël, en trio avec Honey et le barython qui n’avait pas dessoulé ; ça je vous jure, en plein mois de septembre, ça ne s’oublie pas.

Lorsque les premiers invités sont repartis, nous avons enfin pu avoir une vraie discussion philosophique, comme nous les aimons à Frivoli, une de ces discussions qui contribue à nous souder et nous donner cette complicité unique et irremplaçable que tant d’autres confréries nous envient. Le thème en était : le nettoyage des chaussettes (à cette évocation, Honey fut prise d’une irrépressible envie d’appairer) : Comment autant de chaussettes, (fidèles et dévouées par nature) peuvent-elles se retrouver isolées ? Seule Myrtille semble avoir résolu ce mystère qui constitue pourtant depuis des siècles l’un des affres de la ménagère de moins de cinquante ans (passés cinquante ans, ce sont les bas à varices que l’on cherche à appairer (les bas, c’est quand même plus sexy que les collants, non ?!)).

Vers minuit et demie, alors que nous n’avions toujours pas trouvé de vraie solution au problème de la chaussette seule, PMAFMQBP commençait à piquer sérieusement du nez (ces jeunes, ça assure pas des masses !), alors tous les Frivolibres ont décidé de rentrer chez eux, tenter de résoudre de leur côté, cette énigme désormais emblématique.

Pour LC, très très humblement,

Téta

PS- A suivre : Présentation du cadeau et recette des cannelés.

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Commentaires
H
que je retrouve l'esprit de ces discussions "qui contribue à nous souder et nous donner cette complicité unique et irremplaçable que tant d’autres confréries nous envient".<br /> Tout est vrai, il manque simplement la mention du sandwich confectionné sans pain pour notre chanteuse favorite qui allait prendre le train, et qui ne voulait pas encombrer ton réfrigérateur de restes superflus.<br /> <br /> ndlr: Aaaaaaaaaaaaaah! Soupaloignon grognon, comme tu as bien fait de nous exclure des 22, nous la bande des quatre, la crème de la crème.
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L
Ce compte rendu est tout à fait correct. Je suis cité trois fois.<br /> Mais tout est faux. Je corrigerai bientôt.
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E
comme j'aurai bientôt cinquante ans, si j'ai tout compris, jer n'aurai plus de problème de chaussettes ! (Moi je ne mets que des bas mais bon...)
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R
Je n'ai pas besoin de plan pour me perdre. Pour la petite histoire, je me suis plantée au retour... J'ai honte...<br /> Pour le reste, tout est rigoureusement exact et je n'ai rien à ajouter lol
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