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Frivoli
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Frivoli
15 mai 2006

le sonnet de Mercutio

Mon ange... un sentiment, baptisé paradis
vient de glisser en moi; déjà veux-je enlever
toute forme de doute... Oui, ce sont des paris
qui permirent cela... Mais ils vont me sauver!

Rien, avant vous, n'était! Quelque relaxation
que je fis... Tout fut vain! Les femmes? minaudage,
sottises, mièvrerie!... Taisons la tentation,
je suis déjà trop vieux pour le marivaudage.

Mais quand je vous vis, vous, lire sous l'olivier
Quand je vous aperçus... La femme était poubelle,
Elle devint Eden! Vous seriez ma bretelle

si j'étais pantalon! Les "filles", à l'évier!
Je n'ai plus qu'un plaisir... mon amour, vous, madame!
Si je vous trahissais, je me serais infâme.

Mercutio

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Commentaires
D
-
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D
Je suis allée gouter les yaourts de Mercutio, sympa le blog.<br /> Moi qui avait peur de le trouver mort, à peine vengé par Roméo, mais non, il est là vivant mais pas à Vérone, ça doit pas être celui que je connaissais par un vieil anglais Shakepeare ou quelque chose comme ça. Tant pis, l'est bien quand meme ce Mercutio là :<br /> Ceux qui lisent Frivoli ne peuvent pas être franchement mauvais (la preuve j'en étais), alors ceux qui participe.........
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H
Ou alors, j'ai rien compris, comdab.
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